Hypnose et deuil
- Bulledhypnose

- 1 nov. 2023
- 13 min de lecture
Dernière mise à jour : 2 nov. 2023
Introduction
Tout un chacun vit dans sa vie plusieurs deuils. Le décès d’un être cher est vécu différemment selon les personnes et les circonstances. Lors d’une maladie quand il n’y a plus d’espoir, lorsque les médecins annoncent que la fin est proche, la famille peut se préparer. Chaque être peut dire ainsi une dernière fois son amour pour la personne et la remercier de tout ce qu’elle a fait, du plaisir qu’elle a eu à la rencontrer, du bienfait apporté. L’âme en chemin peut, si possible, aussi exprimer ses dernières volontés, prodiguer ses derniers conseils, montrer son attachement et son amour afin de partir en paix.
Peut-on vraiment se préparer à quitter une personne si importante à ses yeux ?
Dans certains cas, lors d’accident ou de suicide, la mort est si brutale, choquante, imprévue, foudroyante qu’il est difficile de comprendre ce qui se passe.
Pourtant dès qu’un être humain vient au monde, chacun sait que la finalité de la vie passe par la mort. On pense toujours que l’on va mourir vieux, que les personnes âgées partent en premier. Mais on remarque bien que parfois la vie est injuste et si cruelle que des plus jeunes partent avant nous.
L'hypnose aide a passer cette étape de votre vie dans un cadre bienveillant et sécurisant. L'hypnothérapeute avec ses diverses techniques vous soutient durant cette épreuve.

Revenons pour commencer par quelques définitions sur les mots « vie », « mort » et « deuil » :
Qu’est-ce que la vie ?
La définition selon le Larousse : Fait de vivre ; existence en particulier humaine. Durée d’existence d’un individu.
La définition selon le Robert : Fait de vivre. Propriété essentielle des êtres organisés qui évoluent de la naissance jusqu’à la mort. Espace-temps de la naissance jusqu’à la mort.
La définition selon l’internaute : Phénomène physiologique de la naissance à la mort.
Qu’est-ce que la mort ?
La définition selon le Larousse : Etre humain qui a cessé de vivre.
La définition selon le Robert : Cessation de la vie. Arrêt des fonctions de la vie (circulation sanguine, respiration, activité cérébrale). Fin d’une vie humaine, circonstances de cette fin.
La définition selon l’internaute : Personne qui a cessé de vivre. Défunt.
Qu’est-ce que le deuil ?
La définition selon le Larousse : Douleur, affliction éprouvée à la suite d’un décès de quelqu’un, état de celui qui l’éprouve. Processus psychique mis en œuvre par le sujet à la perte d’un objet d’amour externe.
La définition selon le Robert : Douleur, affliction éprouvée à la suite d’un décès de quelqu’un. Mort d’un proche.
La définition selon l’internaute : Affliction, peine éprouvée de quelqu’un qui perd un proche.
Emotion ressentie après l’annonce du décès
La personne venant d’apprendre le décès d’un proche est souvent abasourdie. Souvent elle erre, ne sait pas ce qu’il se passe. Il y a un bug dans le cerveau, la réflexion est difficile. Il y a un manque d’appétit, des insomnies, le regard vide.
Et en même temps, il y a plein de choses à faire, à organiser, des décisions à prendre. Annoncer la nouvelle aux membres de la famille, aux amis, comment et à qui en priorité ? De vive voix, par téléphone, ou par message ? Cercueil : quel bois ? Le prix ? Qui va payer ? Fleurs ? Annonce funéraire dans la presse, quel journal ? Qui mentionner sur l’annonce funéraire ? Cérémonie à l’église ou cérémonie laïque ? Enterré ou incinéré ? Collation ou pas ? Combien de personnes ? Nécrologie, que noter, qui la lit ? Musique ou pas ? Lesquelles ?
L’expérience du deuil peut-être si brutale ou si intense que l’endeuillé peut souffrir tant au niveau physique, psychologique, énergétique et spirituel. Parfois la médecine complémentaire peut aider. En pharmacie, des nombreuses alternatives sont proposées, comme l’homéopathie, les élixirs de fleurs de Bach, l’aromathérapie, la phytothérapie.

Le commencement du deuil
Le deuil est propre à chaque individu. Le lien familial ou non qui nous uni avec la personne disparue est unique. Les émotions, les échanges, les sentiments, les bons ou mauvais moments partagés avec le défunt sont gravés à jamais dans nos mémoires. Chacun à son rythme fait son deuil, à sa manière, en fonction de son propre vécu. C’est un cheminement qui peut prendre du temps, n'hésitez pas à faire à prendre une séance d'hypnose.
Les 7 phases de deuil :
Le choc : C’est souvent une phase courte. C’est le moment de l’annonce. Celle-ci se fait parfois de vive voix ou par téléphone. Pendant un instant, le monde s’écroule autour de soi d’autant plus en fonction de l’intensité que la mort est subite, imprévisible et qu’elle se produit quand on ne s’y attend pas. L’annonce du décès peut donner diverses réactions : cris, colère, larmes. Lorsque la mort arrive suite à une maladie, le choc n’est pas de la même intensité. Parfois on se sent déjà un peu préparé, ou l’on se fait à l’idée, mais ce n’est pas pour autant que c’est plus facile.
Le déni : Dès que la nouvelle est entendue, le premier réflexe est souvent de ne pas y croire. Cela semble impossible. Parfois on a côtoyé cette personne quelques heures auparavant et il y a comme un bug dans le cerveau. On met en doute l’information et les faits. La plupart du temps, le
besoin de voir la personne se fait ressentir afin de comprendre et prendre acte du décès.

La colère : Lorsque le déni est passé, la colère peut remonter. Bien souvent, il y a de l’incompréhension quant aux faits. La personne est en révolte contre la situation. Il peut y avoir des hurlements, un besoin de casser des objets, ou de se défouler parfois sur quelqu’un. Parfois l’endeuillé peut montrer de la colère vis-à-vis des gens qui n’ont peut-être pas tout fait pour que le défunt soit toujours là. Cette même colère peut être dirigée contre le mort, surtout lors de suicide ou d’accident. L’endeuillé comprend qu’il n’y a pas de retour en arrière possible, que l’être disparu ne va pas revenir. Certains individus vont intérioriser leurs émotions et faire preuve de mutisme.
La tristesse : Il y a un sentiment d’injustice qui peut nous parcourir. Des questionnements qui sont présents auxquels nous n’avons pas de réponse. C’est une sorte de désespoir. En pensant au défunt, la tristesse nous envahi car on se souvient des bons moments partagés avec lui.
Lorsque la mort est inattendue, il y a parfois des regrets. On aurait voulu avoir fait plus et mieux. Il y a parfois des non-dits, des situations non terminées qui peuvent peser très lourd lors de cette phase. Les regrets peuvent augmenter la tristesse et la tristesse peut parfois augmenter les regrets. Lors de cette étape l’endeuillé a le plus besoin de soutien et de l’affection de son entourage. Une écoute aimante et chaleureuse est nécessaire.

La résignation : La mauvaise nouvelle est passée et l’on ne lutte plus contre celle-ci. On baisse les armes car il n’y a plus l’espoir. On se sent accablé. Jamais plus rien ne sera comme avant. La perte est bien réelle et le sentiment de solitude est profond.
L’acceptation : La personne est d’accord d’accepter l’événement vécu et prend du recul pour se souvenir des bons et moins bons moments passés en compagnie de l’être aimé. La confiance en la vie et en soi revient petit à petit. La douleur s’estompe, elle n’est plus aussi violente.
La reconstruction : L’acceptation a permis de faire le point sur ce qui a été vécu. La personne peut penser de nouveau à elle et se reconstruire. Cette étape permet de reprendre le contrôle de sa vie et d’avancer avec de nouveaux projets. L’énergie est de nouveau disponible, certains attachements sont à nouveau possibles. Le chemin de la résilience est en bonne voie. Parfois cela peut aussi être une étape de pardon. Pardonner, c’est laisser partir le ressentiment et retrouver l’énergie investie dans la rancune.
Durée du deuil
Chaque personne ne passe par forcément par toutes les phases de deuil mentionnées ci-dessus. Elles ne se vivent pas forcément dans l’ordre et leur durée est variable allant de quelques jours à quelques mois, voire quelques années.
Il y a autant de deuils que d’individus.
Parler du deuil peut faire du bien, nous soulager. Qui d’autre qu’une personne qui vit ou qui a vécu la même chose peut nous comprendre le mieux. Mais n’oubliez pas que la relation vécue avec cette personne disparue est unique. Vos sentiments, votre vécu sont spéciaux et personne ne peut vous dire le contraire. Peut-être une personne ayant perdu son père mettra quelques mois à faire le deuil, peut-être que pour une autre personne ayant vécu la même situation cela prendra plus de temps pour s’en remettre. Ne vous jugez pas. Tout est juste.
Il est important de parler et de faire sortir les émotions telles que la tristesse et la colère. Si on garde tout pour soi en pensant que l’on est suffisamment fort, cela nous reviendra avec une intensité encore plus forte et parfois de manière incontrôlée. Cela pourrait dans certains cas conduire à une maladie.
Exercices pour faciliter le cheminement du deuil :
Se débarrasser de ses regrets et de sa culpabilité : Acheter une grosse pierre/cristal. Mettez votre main droite sur la pierre et la main gauche sur votre cœur. Visualisez tous les regrets ou culpabilité que vous ressentez vis-à-vis de la personne défunte. Visualisez tout cela qui quitte votre cœur pour se déposer dans la pierre. Dites ensuite : je suis en paix, je laisse la paix entrer en moi ». Vous pouvez faire cela plusieurs fois par jours ou chaque fois que vous le désirez. Nettoyez votre pierre (selon indication donnée lors de l’achat).
Ecrire une lettre à la personne décédée : Prenez une feuille blanche, installez-vous dans un endroit tranquille. Vous pouvez mettre une musique que vous aimez et avoir une photo du défunt. Ecrivez tout ce que vous souhaiteriez dire au défunt sans rien censurer (colère, tristesse, regrets, amour). Quand vous avez terminé, relisez la lettre sans rien changer et brûlez-là. Regardez cette lettre se consumer. Vous pouvez dire : « Je suis en paix, tout est bien, je trouverai la force nécessaire »

Vider sa colère : Il est important de crier sa colère pour un soulagement. Trouvez un endroit ou vous pouvez hurler tout ce dont vous avez besoin. Cela peut-être en nature ou dans votre appartement. Vous pouvez vous agenouiller et taper sur un gros coussin ou un matelas en criant « aaaahh » lors de l’expiration, peut-être d’autres mots viendront. Cela peut aussi se faire contre un punching-ball si vous en possédez un.
Auto-hypnose: Lors d'une séance d'hypnose, l'hypnothérapeute vous apprendra une magnifique technique qui est l'auto-hypnose. Vous pourrez la pratiquer chez vous lorsque vous en ressentirez le besoin, cela vous procurera une merveilleuse détente bienfaisante.
Réactions physiques liées au deuil et à la séparation :
Manque d’énergie
Sentiment de faiblesse
Bouche sèche
Gorge serrée
Poitrine serrée
Sentiment de vide dans l’estomac
Augmentation des problèmes physiques existant (douleurs articulaires, maux de tête)
Douleur au niveau du cœur
A la suite d’un deuil, la personne est plus faible et tombe plus facilement malade.
Autres réactions liées au deuil et à la séparation :
Confusions
Difficulté à se concentrer
Hallucinations visuelles ou auditives
Troubles du sommeil (personne dort trop, ou n’arrive pas à s’endormir, ou se réveille trop tôt sans pouvoir se rendormir)
Manque d’appétit ou l’inverse pour calmer la douleur
Hyperactivité
Quand dois-je me séparer des affaires appartenant au défunt ?
Si le disparu vivait seul et/ou dans une location et/ou dans un EMS, le délai pour se séparer des affaires est assez rapide. Vous n’avez pas le choix. L’appartement ou la chambre doit être remis car d’autres gens sont dans l’attente. C’est une question financière, malheureusement il n’y a pas beaucoup de place pour les sentiments. Cela prend quelques jours ou semaines. Souvent 2 ou 3 personnes trient les affaires. Le questionnement à savoir : que garde-t-on, que donne-t-on, et que jette-t-on ? peut parfois provoquer des disputes.
Si le disparu vivait avec nous, c’est un peu différent. Parfois on doit changer de lieu de vie pour une question pécuniaire, cela veut dire un appartement plus petit donc séparation de beaucoup d’objets et cela peut prendre quelques semaines ou quelques mois, le temps que l’on trouve son nouveau chez soi.
S’il n’y a pas besoin de changer de lieu de vie, il n’y a pas de règles. On se sépare des habits et divers objets parfois après quelques mois ou années. Au fil du parcours de deuil, cela deviendra parfois une évidence ou même une nécessité pour recommencer une nouvelle vie avec de nouveaux projets. Chaque personne peut décider ou non de garder certains objets ou vêtements si besoin ou envie. Chacun est libre.

Héritage : Une affaire qui peut vite tourner au cauchemar
Lorsqu’il y a un décès dans une famille, vient un moment où la question de l’héritage est abordée.
En Suisse, il y a 2 cas distincts :
Le défunt a rédigé un testament (olographe ou public chez le notaire en présence de 2 témoins) : Chaque personne peut faire un testament et décider ce qu’il veut donner à qui et/ou s’il veut favoriser un ou plusieurs héritiers. Cependant, il y a une limite à la liberté de choix, vous ne pouvez pas déshériter votre conjoint ou partenaire enregistré, ni vos enfants (ou leurs descendants). L’héritage sera partagé selon les volontés du défunt.
Le défunt n’a pas rédigé de testament : La loi sur les successions s’applique.

Lors d’une succession, vous hériterez peut-être d’un ou plusieurs biens immobiliers. Il y a un document que vous devrez signer pour le registre foncier. Ensuite reste à savoir si vous souhaitez garder ce bien ou pas. Vous devrez trouver un accord si vous êtes plusieurs héritiers. (le garder conjointement, 1 le reprend et distribue la part aux autres, le vendre). Il faut que tout le monde soit d’accord.
Répudier une succession :
Chacun est en droit de répudier une succession pour les raisons qui lui sont propres. Il doit le communiquer par lettre recommandée dans les 3 mois à l’autorité compétente. Dans ce cas, la partie de l’héritage revient aux héritiers légaux qui ont à leur tour 3mois pour répudier l’héritage.
En Suisse, en règle générale les époux et les partenaires enregistrés ainsi que les descendants (enfants, petits-enfants) sont exonérés de l’impôt sur les successions.
Vous pouvez trouver d’autres informations utiles sur le site de la Confédération Suisse ou vous renseigner auprès d’un notaire.
Recommencer une nouvelle vie après un deuil
Lorsque l’être cher que l’on perd est un conjoint, la charge qui en découle peut-être relativement intense surtout si l’on a des enfants en bas âge. La personne doit endosser le rôle de père et mère ce qui n’est pas simple et cela peut devenir épuisant à la longue, la personne peut se sentir débordée.
Le temps nous manque pour prendre soin de nous et faire le deuil. Osez demander de l’aide autour de vous, à la famille, aux amis. Ceux-ci sont souvent très présents les premiers jours mais après parfois ils s’éloignent pour retourner à leurs occupations.
Lorsque l’on a des enfants plus grands ou qui sont déjà sortis du nid, la solitude peut être pesante. La reprise d’activité notamment le sport peut aider ou faire quelques sorties ou voyages avec des amis peut aider.
Il y a aussi le moment d’une nouvelle rencontre, certaines personnes endeuillés pensent qu’il faut rester seules un bon moment avant d’envisager de retrouver un compagnon de route vis-à-vis du regard des gens.
Finalement, pourquoi devrait-on attendre un certain temps ? Parce que c’est un deuil ? Une rupture amoureuse est une sorte de deuil, lorsque quelqu’un se sépare, les gens ne jugent pas la personne qui retrouve un autre amoureux quelques semaines après. En quoi la mort de quelqu’un, devrait faire que le deuil soit plus long? L’amour ne se contrôle pas, il arrive bien souvent au moment ou l’on s’y attend le moins.
Comment se comporter face à une personne proche qui vit un deuil ?
Bien souvent l’humain ne sait pas comment se comporter face à une personne en deuil. Chaque personne veut aider et trouver les bons mots pour réconforter mais parfois on est mal à l’aise, on a peur de blesser encore plus la personne par des paroles inadéquates. En psychologie, c’est ce que l’on appelle le phénomène de projection : la perte d’un être cher chez un membre de son entourage ramène à ses propres pertes futures et à l’angoisse de la mort.
Ce qui est important c’est de dire à la personne que l’on est là si elle en ressent le besoin, que l’on peut lui apporter notre aide. Il est important de lui demander comment elle se sent, et non pas comment elle va, car la réponse sera toujours « mal ».
L’essentiel est de garder une communication. Montrer son soutien à l’endeuillé en envoyant un message (je suis là, je pense à toi, je t’embrasse) à intervalles réguliers même s’il n’y a pas de réponse.
Offrir un petit cadeau peut aider parfois (des fleurs, un ange, une pierre, etc.). Le tout est d’être compréhensif et de rester à l’écoute de la souffrance de l’autre.
Avoir une très bonne capacité d’écoute est très important et reformuler ce que la personne dit peut aider à ce qu’elle puisse encore davantage s’exprimer, partager ses craintes et se sentir comprise.
Apporter son aide pour différentes choses peut faciliter la tâche au début, tel que préparer les repas, proposer de s’occuper des enfants, de faire le ménage ou la lessive, d’aider à organiser les différentes choses liées aux funérailles, vider un appartement, trier les effets personnels du défunt.
Lorsqu’on accompagne un proche qui vit un deuil, il faut faire preuve de patience. Proposer des activités pour que l’endeuillé se change les idées est bien mais souvent celui-ci refuse. C’est trop tôt, il ne se sent pas la force et le courage de le faire, il a peur d’être de mauvaise compagnie. Respectez-le. Proposez à nouveau d’ici quelques jours ou quelques semaines, il acceptera à un moment donné.
Il y a des dates importantes lors du soutien de la personne endeuillée, c’est le 1er Noël, les premières vacances, les 1er anniversaire (du défunt, du décès, de soi-même). Il est primordial de manifester son affection ce jour-là, être présent est bienfaisant.

Comment l’hypnose peut m’aider à surmonter mon deuil ?
En période de deuil, l’hypnose est d’un grand soutien. Vous pouvez déposer vos doutes, vos craintes, votre colère, votre tristesse dans un endroit sécurisé. L’hypnothérapeute ne porte aucun jugement, il est là pour vous accompagner dans cette épreuve de votre vie.
L’hypnose vous aide avant tout à vous détendre. Elle contribue à retrouver un sommeil réparateur et à reprendre de l’appétit, ces 2 éléments essentiels qui sont un peu malmenés durant ce malheur.
Avec l’auto-hypnose, vous pourrez à tout moment lorsque vous serez seul et plus vulnérable vous apaiser à la maison et comprendre les bienfaits de cette pratique.
La consultation en cabinet d'hypnose a pour but d’aider et de vous soutenir dans votre processus de deuil.
L’hypnothérapeute explorera avec le patient ses différentes ressources pour affronter au mieux cette période. Lors du travail d’hypnose thérapeutique, différentes techniques d’hypnose vont être utilisées afin de soutenir au mieux le patient
Conclusion: L'hypnose pour aider à faire son deuil
La vie a un début et une fin. Le reste est fait de succession d’expériences bonnes et moins bonnes qui nous permet de grandir chaque jour un peu plus et d’évoluer. Il y a aura beaucoup de moments heureux, un peu de routine et parfois quelques embûches sur la route. Chacun réagit à sa manière et comme il peut.
Parfois, le décès d’un être cher est une nouvelle épreuve. Chacun la perçoit différemment selon son parcours de vie. L’hypnose aide et soutient la personne en souffrance durant cette étape.
Avec le temps, la souffrance s’apaise. La personne disparue sera toujours dans votre cœur. Faire le deuil d’un être cher, ce n’est pas l’oublier, c’est vivre avec et que cela soit supportable. La personne défunte souhaite que vous continuiez votre vie, que vous gardiez ou retrouviez votre sourire et surtout que vous ayez de nouveaux projets. Vivre en se repliant sur soi-même n’est pas une solution.
Si vous souhaitez bénéficier de séances d’hypnose à Bulle, n’hésitez pas à me contacter par email ou par téléphone.
Merci de partager ce post.
Bien à vous
























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